À propos de Gaya Sculptrice

Gaya est sculptrice, bordelaise d’adoption. Née en 1971, c’est l’argile qu’elle choisit pour figer ses femmes dans leurs émotions.

Depuis toujours attirée par les créations manuelles et par le dessin mais incertaine quand à son avenir, à 20 ans,elle quitte sa banlieue parisienne pour Bordeaux où elle découvre immédiatement l’atelier de Jacques LAFAYE et le petit monde qui l’entoure : la photo, le dessin, les modèles mais aussi les artistes, les poètes et les philosophes qui le fréquentent…

Jacques l’initie au modelage, la terre sera sa révélation et lui permet de se révéler. Elle créé avec passion et s’expose au public.

Salariée dans le commerce de détail ( fournitures Beaux-Arts ) puis intérimaire à des postes peu ordinaires ( chantier naval, chantier du tramway ), elle reprend l’atelier de Jacques et monte une association pour donner des cours et maintenir les séances de dessin avec modèle vivant, transmettant comme on lui a transmis.

Pour mieux se consacrer à ses activités artistiques et pour profiter de la vie, elle devient femme de ménage à temps partiel, elle choisit ses horaires et ses lieux de travail.

Elle apprend à faire ses moules seule et fait fondre ses premiers bronzes.

Elle participe à des expositions collectives ( la Coupole de St Loubès, Cour Mably à Bordeaux…) et est présente de longues années dans la vitrine d’un hôtel très touristique dans le vieux Bordeaux, ses œuvres sont sur tous les continents

mais c’est dans son atelier qu’elle travaille et expose en permanence.

« J’ai croisé beaucoup de monde depuis longtemps, des gens de tous milieux, de toutes conditions.

Au travail, au quotidien ou dans l’association, j’ai toujours préféré, aimé le contact humain, les brèves rencontres et les amitiés durables.

J’ai toujours été curieuse, attentive, sensible aux émotions qui s’expriment ou se cachent dans un discours, un silence ou une posture, un petit geste.

C’est ce qui m’inspire de saisir une colère, un amour, une attente…

Le choix est vaste dans les sentiments, tous comme sont vastes les ressources du corps humain pour dire, crier ou taire…

Dans un monde de surabondance d’objets, de biens, d’accessoires, je me mets au défi de revenir, obstinément, à notre nudité sans artifice, comme seul langage à l’autre…”

 

À propos de Gaya sculptrice

À propos de Gaya Sculptrice

Gaya est sculptrice, bordelaise d’adoption. Née en 1971, c’est l’argile qu’elle choisit pour figer ses femmes dans leurs émotions.

Depuis toujours attirée par les créations manuelles et par le dessin mais incertaine quand à son avenir, à 20 ans,elle quitte sa banlieue parisienne pour Bordeaux où elle découvre immédiatement l’atelier de Jacques LAFAYE et le petit monde qui l’entoure : la photo, le dessin, les modèles mais aussi les artistes, les poètes et les philosophes qui le fréquentent…

Jacques l’initie au modelage, la terre sera sa révélation et lui permet de se révéler. Elle créé avec passion et s’expose au public.

Salariée dans le commerce de détail ( fournitures Beaux-Arts ) puis intérimaire à des postes peu ordinaires ( chantier naval, chantier du tramway ), elle reprend l’atelier de Jacques et monte une association pour donner des cours et maintenir les séances de dessin avec modèle vivant, transmettant comme on lui a transmis.

Pour mieux se consacrer à ses activités artistiques et pour profiter de la vie, elle devient femme de ménage à temps partiel, elle choisit ses horaires et ses lieux de travail.

Elle apprend à faire ses moules seule et fait fondre ses premiers bronzes.

Elle participe à des expositions collectives ( la Coupole de St Loubès, Cour Mably à Bordeaux…) et est présente de longues années dans la vitrine d’un hôtel très touristique dans le vieux Bordeaux, ses œuvres sont sur tous les continents

mais c’est dans son atelier qu’elle travaille et expose en permanence.

« J’ai croisé beaucoup de monde depuis longtemps, des gens de tous milieux, de toutes conditions.

Au travail, au quotidien ou dans l’association, j’ai toujours préféré, aimé le contact humain, les brèves rencontres et les amitiés durables.

J’ai toujours été curieuse, attentive, sensible aux émotions qui s’expriment ou se cachent dans un discours, un silence ou une posture, un petit geste.

C’est ce qui m’inspire de saisir une colère, un amour, une attente…

Le choix est vaste dans les sentiments, tous comme sont vastes les ressources du corps humain pour dire, crier ou taire…

Dans un monde de surabondance d’objets, de biens, d’accessoires, je me mets au défi de revenir, obstinément, à notre nudité sans artifice, comme seul langage à l’autre…”